THOMAS RACING DEVELOPPEMENT

Après cinq saisons de collaboration entre le  GARAGE VARINOT  importateur des lubrifiants  RED LINE et THOMAS RACING DEVELOPPEMENT, le bilan s’avère positif.

Nos moteurs ont fonctionné par des températures ambiantes  extrêmes : 5 °C  à Ledenon  lors d’une séance d’essais privés avec la Martini il y a quelques années et jusqu’à 41 °C, encore à Ledenon à l’occasion de la course de Coupe de France Ledenon 2015. Température mesurée avec le datalogger de l’auto pendant toute la durée de la course. Quant au circuit de refroidissement du moteur, il a fini la seconde course à 106 °C acquisition de données à l’appui.

Á Croix en Ternois pour la Coupe de France en 2015, les conditions climatiques étaient relativement clémentes.  Mais les deux vilains accrochages au départ d’une course, dont l’un a été malheureusement fatal à la Sparton de Paul Vezin, ont conduits à deux safety-car consécutifs ce qui a entrainé trois départs en course. Les monoplaces n’ont pas de ventilateur de refroidissement. Elles  ne sont pas conçues pour des départs répétés où le moteur monte très vite en température quand il n’y a plus de flux d’air qui passe dans les radiateurs.  A Croix, la température du liquide de refroidissement a largement dépassé 110 °C juste avant le second départ et il a fallu près d’un tour pour qu’elle redescende vers 105 °C. Lors de la révision après Croix, on a retrouvé du liquide de refroidissement dans le récupérateur, ce qui prouve que la soupape de sécurité de la boite à eau a fonctionné. Lors de la révision d’inter-saison, lors du remplacement programmé des durits de l’échangeur huile-eau, on a découvert que l’une d’elle avait beaucoup souffert lors de cette surchauffe : elle était prête à nous péter à la figure, complètement bouillie. Il était prévu de la conserver comme pièce de secours, mais il a fallu se résoudre à la donner à manger à la poubelle… Malgré des conditions de fonctionnement très favorables à une forte oxydation du lubrifiant du moteur, la RED LINE s’est très bien comportée. D’abord, le moteur n’a pas cassé, évidemment. Mais lorsqu’il a été vidangé entre Croix et Le Vigeant en 2015, le lubrifiant qu’on a extrait s’est avéré encore en excellente condition. Ce n’est pas toujours le cas lorsque de telles températures sont atteintes. Le lubrifiant RED LINE  a montré qu’il était conforme à nos attentes : capable de résister aux plus mauvais traitements et malgré tout de continuer à protéger le moteur.

En fait, depuis qu’on roule avec RED LINE , on n’a jamais pu prendre ces lubrifiants en défaut.

Nous avions de très grosses inquiétudes à propos de la tenue des transmissions. Les couples coniques des boites SADEV SL 75-14 ont une sinistre réputation. D’autre part, lors de l’achat de l’auto, qui avait à peine deux saisons, nous avions dû remplacer deux rapports, par précaution parce qu’ils présentaient des signes de fatigue naissante. Pourtant, pendant les deux saisons précédentes, la transmission avait été lubrifiée avec un produit élaboré par un grand pétrolier, très connu dans le domaine des sports mécaniques. Mais ce n’était pas de la RED LINE … L’avenir de la transmission nous paraissait inquiétant. Á tel point qu’en plus d’utiliser ce qui se fait de mieux chez RED LINE  pour les boites transaxle avec différentiel à glissement limité, nous avons approvisionné, des couples coniques et des rapports d’avance afin d’être en mesure de les remplacer au moindre signe de début de défaillance. Il y a peu,  tout ce beau matériel séjournait paisiblement dans un placard parce que malgré de très fréquents contrôles, on n’a jamais détecté le moindre signe de faiblesse en cinq ans. Les cages à aiguilles des trains de pignons ont été remplacées en début 2015, mais sincèrement, c’était du luxe, parce qu’elles n’étaient absolument pas usées. Du coup, une partie du stock devenu inutile a été revendue récemment, pour acheter d’autres pièces qui nous seront plus utiles.

Le pignon du couple conique,  lors de la révision de février 2016

La couronne du couple

Un crabot de la boite à vitesses, observé à la loupe binoculaire

Dents de pignon de boite observées à la loupe : les stries de rectification sont encore visibles

 Voilà ce qu'on observe lorsque ça se passe mal, au début... Parce qu'à la fin, ça finit par détruire au minimum deux roues dentées, et avec un peu moins de chance, la boite complète. (source de la photo :  Institut royal de technologie suédois°

Là aussi, le lubrifiant 80w140 RED LINE  a été exemplaire. Il a toujours eu sa belle couleur dorée d’origine lors des vidanges. Ce n’est pas toujours le cas de ce qu’on a pu vidanger de boites d’autres monoplaces, pas les nôtres évidemment…. Il y a même des fois où le lubrifiant sent le brûlé quand on le vidange. Ça n’est jamais arrivé dans la nôtre.

On a aussi utilisé avec succès la graisse RED LINE  pour lubrifier nos joints homocinétiques. Là encore RAS.

Cet hiver,  on vidange les amortisseurs et devinez ce qu’on y met ? De la RED LINE SUSPENSION FLUID…

Pourquoi prendre des risques quand on a un truc qui marche, et qui marche bien ?

Donc, la Tatuus 835 reste aux couleurs du GARAGE VARINOT  et des lubrifiants RED LINE  pour 2016.

Mille mercis à Julien Varinot pour son aide précieuse.

TRD CARS are lubricated by RED LINE

 http://www.garage-varinot.fr/red-line-oil-huile-moteur/

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