Coupe de France des circuits 2016, Le Vigeant Meeting 1, mai 2016
Deux meetings de Coupe de France des circuits étaient prévus pour la saison 2016. Aux traditionnelles courses d'octobre sont venues s'adjoindre celles du mois de mai. Pour cela, le meeting de Lédenon a été retardé d'une semaine. Il y aura donc trois meetings de Coupe de France en deux mois. Nous espérons participer aux trois avant la trêve estivale.
Le premier meeting avait lieu le week-end passé. Pour ce meeting, il n'y avait pas de course de Twingo, mais elles étaient remplacées par des courses du championnat Mitjet-Superproduction.
Des engins sans grand rapport avec des voitures de production, même "super", très chers, souvent conduits par des pilotes de renom, et toujours avec de gros budgets et une débauche de moyens matériels. Autant le dire tout de suite, on a largement préféré les Mitjet aux Twingo comme voisins. En fait depuis que la Twin'cup a été associée à la Coupe de France des Circuits c'est bien la première fois qu'on a pu dormir tranquillement sur le paddock. En Twin'cup, il y a quelques excellents pilotes, mais il y a aussi bon nombre de fêtards qui mettent largement autant d'énergie dans les soirées bruyantes que dans les bagarres sur la piste. Et encore, les Twingo, c'est de la rigolade par rapport aux 2CV d'endurance (voir course de Coupe de France des circuits Anneau du Rhin 2015). On a l'impression que moins les autos vont vite plus les pilotes se font remarquer quand on voudrait se reposer.
Sur le circuit du Val de Vienne, pour cette épreuve de mai, c'est Jean-Claude PAULHIAC et Brandon VLIEGHE qui avaient la charge de prendre soin de la Tatuus 835.
Brandon à l'atelier la veille du départ pour le Vigeant en train de rectifier une pièce en vue de la révision prévue à mi-saison 2016.
Pour ce meeting et pour le reste de la saison, la 835, toujours sous les couleurs du Garage Varinot, importateur des lubrifiants RED LINE arborait aussi celles de SCHRADER équipementier pour les roues et pneumatiques automobiles. Cette année, les mécanos du team, porteront aussi les couleurs de RED LINE EUROPE qui leur a fourni des tenues à leurs couleurs. Nous remercions particulièrement ces trois partenaires sans lesquels nos participations exigeraient encore plus de sacrifices. Côté sacrifices, de toutes façons, on est déjà à 100 %. Merci également à XA Racing Service qui a assuré une partie de la logistique avant la course avec toujours autant d'efficacité.
Jean-Claude PAULHIAC en Red Line boy au Vigeant pendant le meeting
L'équipe avant les vérifications techniques et administratives au Vigeant.
La vedette des vérifications techniques était sans conteste la toute nouvelle Formule 3 Dallara 314 Volkswagen d'Alain Coloméda qui devait effectuer ses premiers tours de roue avec son moteur tout juste sorti du banc. On annonçait 15 % de puissance en plus par rapport à une Tatuus 2013-2016 soit près de 30 % de plus que celle de notre Tatuus 2008.
Essais privés
Dès les essais privés du dimanche matin plusieurs pilotes ont dû jeter l'éponge suite à des déboires divers. Beaucoup de sorties de piste, dont certaines auraient pu être sans conséquence avec quelques précautions supplémentaires. Heureusement, pas de blessé, mais des victimes tout de même : les mécaniques. Après la casse du moteur d'une Formule 3 sur bris de courroie de pompe à huile à cause d'un caillou glané sur un bas-côté, Patryck Boutin, y a laissé le moteur de sa Tatuus FR 2000, un gravier du bac ayant décalé sa distribution, la soupaperie a été détruite lors de la remise en marche du moteur. Tous les pilotes confirmés savent qu'une pierre peut endommager une transmission à courroie crantée, mais on se dit souvent que ça n'arrivera qu'aux autres... Le pilote le plus à plaindre semble cependant être Rudy Volpe qui a attendu sa monoplace un bon moment avant d'apprendre qu'Henri Neel qui devait la lui amener était en fait bloqué en Corse... Rudy n' a eu que le loisir de passer avec succès les vérifications administratives. ça fait quand même peu... Et si les déboires de Rudy pouvaient nous arranger au classement de la Coupe de France, (Rudy est notre adversaire attitré), nous n'en étions pas moins tristes de le voir réduit au grade de spectateur, très averti...
Le dimanche matin, en essais privés, avec le set-up de la course de l'an passé, la 835 a descendu le meilleur temps obtenu en course d'une seconde en tournant en 1'40.
Essais qualificatifs
Le dimanche après-midi avait lieu la séance de qualification. Il n'a jamais été possible d'égaler les temps réalisés en essais privés lors de la séance de qualification. Pire que ça, aux trois quart de la séance, j'ai vu l'une de mes roues avant décoller de la piste de vingt centimètres. Avec un peu d'expérience du kart ou de la monoplace, on sait bien ce que cela signifie et j'ai vite levé le pied avant d'aborder le virage suivant où malgré une cadence fortement diminuée, l'auto à encore levé une patte avant de rebondir sur la piste. J'ai donc abrégé ma séance de qualification pour ne pas risquer de détruire la monoplace.
Le contrôle des éléments de suspension n'a rien donné. Je me doutais que c'était l'arrière qui provoquait ces dysfonctionnement de l'avant. C'est Brandon qui a découvert la cause des pitreries de mon châssis. Quand il a connecté le manomètre sur l'une des roues arrières, le cadran indiquait zéro alors que 30 minutes plus tôt la pression était correcte. Victime d'une crevaison lente, j'avais progressivement perdu toute la pression jusqu'à ce que le châssis devienne inconduisible.
J'avais l'air malin... SCHRADER, la pression maîtrisée. Et la seule auto aux couleurs SCHRADER victime d'une crevaison ! C'est la loi de la course, il faut bien l'accepter et autant le prendre avec le sourire. Il a donc fallu se contenter d'un 1'41 qui me plaçait en huitième position sur la ligne de départ de la course du lendemain.
Première course
A la fin du tour de chauffe mon Dashboard s'obstine à afficher le second rapport malgré de multiples tentatives pour passer le premier. Pourtant, la commande de boite semble réagir normalement. Je pense à une panne de potentiomètre. On en a un d'avance dans le camion, mais le départ va être donné dans vingt secondes; Il va falloir se débrouiller comme ça. Au moment de partir, je constate que mon Dashboard reste bloqué à 5250 tours par minute. il s'agit donc d'une panne logicielle et pas d'une défaillance de potentiomètre. La boite doit donc être en première alors que j'aborde la grille de départ.
Je démarre normalement mais avec la boule au ventre en imaginant le moteur caler sur la ligne de départ si la boite est restée en seconde. Pour ce circuit, la seconde tire environ 120 km/h. démarrer dans ces conditions, serait à coup sûr laisser l'embrayage sur la piste. A cet instant, toute mon attention va sur le bruit de mon moteur et mon bras est déjà tendu, prêt à être levé au ciel pour signaler mon calage s'il doit survenir.
Je suis placé du côté corde pour le double droite Arnaud Biet. C'est de mon avis est un avantage vu la configuration particulière de ce virage. L'auto démarre en trombe et j'en profite pour passer une auto qui était devant moi, mais avait le handicap de n'être pas côté corde.
En début de course, je parviens à distancer mes poursuivants mais je reste proche de celui qui me précède. Au premier passage du "trop tard, je gagne une place. Pas de la manière la plus noble... Sébastien Banchereau, le triple vainqueur de la Coupe de France vient justement de freiner trop tard au bien nommé , et il s'enlise dans le bac à graviers dont il ne parviendra pas à ressortir. Je suis donc sixième.
L'absence de compte-tour se traduit par quelques surrégimes immédiatement sanctionnés par la coupure d'injection par le calculateur. Je n'ai d'autre ressource que de conduire à l'oreille et je me décide à passer les rapports un peu plus tôt pour ne pas aller au rupteur. Sans afficheur de rapport, je me surprends même à repasser la première ce qui n'est pas le meilleur moyen d'aller vite . Petit à petit, je me laisse distancer par celui qui me précède. ça doit être le pilote belge Bibi qui s'en va inexorablement en m'oubliant derrière lui.
Plus tard, je passe Roberto Bibi alors qu'il part en tête à queue devant moi. Je suis cinquième, mais il repart à mes trousses.
Au bout de la grande ligne droite je passe la Caparo d'Adrien Hervouet arrêtée en bord de piste. Je suis quatrième. Le troisième doit être très loin. je ne le vois plus depuis longtemps.
Roberto Bibi me rattrape grâce à la puissance supérieure de sa Tatuus 2013 ex-Castellana. Une auto qu'on connait bien ici. A chaque freinage, je le décroche de cinq mètres, mais à chaque ligne droite, il m'en prend 30... Je n'arriverai pas à le contenir longtemps. A force de retarder mes freinages, je vais finir par faire une faute.
Bibi reprend la quatrième place alors qu'on approche de l'arrivée. Et à chaque accélération il me largue un peu plus. Je suis en train d'abdiquer et de me contenter de la cinquième place quand je le vois partir en tête à queue devant moi dans un gauche serré. Je contourne comme je peux sa Tatuus en perdition. Il reste un tour et demi de course. J'attaque au maximum un demi-tour. Il n'est toujours pas dans mon champ de vision quand je sors d'Arnaud Biet. A cet endroit, on voit très bien la piste 400 mètres en arrière. Si je ne commets pas de faute, il ne pourra plus me rattraper. Je passe encore le gauche et le double droite "Trop vite" puis la ligne droite à bonne cadence avant de lever franchement dans le Buisson et jusqu'à l'arrivée. Ce serait trop bête de partir à la faute à mon tour.
La course est gagnée par Fabien Lavergne qui confirme sa place de leader dans la coupe 2016. Alain Coloméda est second pour la première sortie de sa Dallara 314, André de Baere place sa Tatuus 2014 en troisième position. Loin derrière André, je rate le podium d'une place. Mais sincèrement je suis convaincu que je ne le méritais pas tant André m'a distancé. Quatrième au scratch, je suis second en classe 19, celle des Formule Renault de plus de six ans.
La Tatuus de Fabien Lavergne avec la coupe du Vainqueur.
Seconde Course
Je suis fatigué avant le départ. Plus vraiment envie d'aller vite. Une séance "d'auto-podo-cul" thérapie parvient à me décider à m'installer dans mon cockpit (en clair, je me donne des coups de pied au derrière pour me décider à disputer la course...) .
Pour cette course, la grille est inversée. Je suis côté extérieur par rapport à Arnaud Biet. Joseph Girardeau est placé devant moi sur la grille. J'ai la ferme intention de prendre la corde devant Joseph. Je suis très inquiet parce que Fabien Lavergne partira derrière moi et côté intérieur. En me rabattant à droite pour passer Joseph, je vais devoir couper devant Fabien. qui lui n'aura qu'un objectif : passer devant moi, Joseph et peut-être quelques autres... Ces constats m'effrayent. C'est d'ailleurs probablement pour ça que je n'avais pas très envie de prendre le départ de cette course tout à l'heure.
Mais il y a un élément nouveau. Mon rétroviseur droit est maintenant réglé trop bas et je ne parviens pas à le redresser. C'est très probablement Brandon qui en m'attachant à du s'appuyer contre le rétroviseur lorsqu'il a serré très énergiquement mon harnais à ma demande. Et je ne m'en étais pas aperçu alors qu'il était encore temps pour le régler. Maintenant, je ne peux plus rien faire.
Au départ, je ne verrai pas Fabien dans mon rétroviseur droit. J'ai des nœuds dans l'estomac...
Le départ est donné.
Joseph rate son départ; je le dépasse sans oser plonger vraiment à droite. Fabien me déborde par la droite. On se retrouve donc à trois de front quelques instants à l'entrée d'Arnaud BIET.
ça passe.
Les autos devant moi commencent à me larguer. J'ai lâché mes poursuivants. C'est bien parti pour une course en solitaire. Déjà, je n'ai plus d'aspiration en ligne droite et j'imagine cette course comme ennuyeuse à l'excès.
Mais au bout de quelques tours, je découvre dans mes rétroviseurs un engin tricolore qui semble me reprendre du terrain petit à petit. Il se rapproche inexorablement. C'est la Formule trois Dallara de Jean-Paul Dussouchaud.
Dussouchaud est un pilote plus tout jeune, mais il a un passé. Il y a quelques années, il fut l'un des animateurs en MEP. Et ça, Jean-Claude PAULHIAC me l'a bien rappelé. il s'en souvient bien puisque lui aussi a fait ses premières armes en MEP.
Ma Tatuus ne va pas résister longtemps aux assauts de la Dallara tricolore. Parfois il est très près, à d'autres je parviens à le lâcher un peu au prix d'un freinage retardé, mais il revient toujours et de plus en plus vite. Il va finir par m'avoir. Je pense qu'il cherche à me pousser à la faute.
Attention à la faute... rester concentré sur la trajectoire, essayer d'oublier l'aileron bleu qui renifle mon cul de boite... Rester concentré sur la trajectoire, rester concentré, concentré, concentré, concentré, trajectoire, freinage, trajectoire...
Où est il passé ? Il n'est plus dans mes rétroviseurs depuis trois virages. Il a du casser quelque chose.
Drapeau à damiers. Je ne l'ai pas revu.
La course est gagnée très largement (14 secondes d'écart) par un Sébastien Banchereau des grands jours, devant Fabien Lavergne et Alain Colomeda. Je suis sixième et encore second de la classe 19.
Mes mécanos m'apprennent que Jean-Paul Dussouchaud a commis la faute que je craignais tant de faire. C'est lui qui est sorti de la piste. Il termine 24 secondes derrière moi. Un coup du sort en ma faveur, mais sincèrement, sur cette course, il était plus vite que moi.
La 835 vient de marquer ses premiers points dans la Coupe de France 2016. Avec deux résultats alors que huit courses ont déjà été disputées, nous sommes en milieu de classement. Mais notre objectif est maintenant de disputer toutes les courses pour ravir le maximum de places afin de terminer dans le premier tiers du classement final. On va s'y employer. Prochain meeting : Ledenon ou Brandon Vlieghe et Alain Hornegg auront la charge de bichonner la 835.
Fabien Lavergne, l'homme à la Tatuus verte confirme ici son leadership dans la Coupe de France 2016, mais Sébastien Banchereau, triple vainqueur de la Coupe a aussi démontré, s'il en était encore besoin, qu'il dispose d'un potentiel qui pourra lui permettre de placer la 2013 rouge en tête avant la fin de saison. Une saison 2016 qui s'annonce donc excitante à suivre. Il convient de souligner que ces deux pilotes, contrairement à d'autres, ne disposaient pas de structure professionnelle au Vigeant. Cela renforce la qualité de leurs prestations.
Classement provisoire la Coupe de France 2016 après le meeting du Vigeant (le seul auquel nous avons participé.)
Position | Nom du pilote | ASA | Groupe | Nombre de résultat | Points |
1 | FABIEN LAVERGNE | ARMAGNAC BIGORRE | E | 8 | 351,00 |
2 | SEBASTIEN BANCHEREAU | SPORT AUTOMOBILE OCEAN | E | 6 | 284,00 |
3 | ANDRE DE BAERE | CIRCUIT DE CROIX | E | 6 | 181,00 |
4 | ROBERTO BIBI | CIRCUIT DE CROIX | E | 7 | 178,00 |
5 | JOSEPH GIRARDEAU | MAINE BRETAGNE | E | 8 | 142,00 |
6 | CHRISTOPHE RIBOULET | DE LEDENON | E | 5 | 112,00 |
7 | ALEXIS CARMES | ARMAGNAC BIGORRE | E | 2 | 94,00 |
8 | ERWIN CREED | A C O | E | 2 | 89,00 |
9 | ALAIN COLOMEDA | DE LEDENON | E | 2 | 84,00 |
10 | MICHEL PIROIRD | ROSNY 93 | E | 2 | 79,00 |
11 | JEAN-LOUIS CARPONCIN | ARMAGNAC BIGORRE | E | 3 | 68,00 |
12 | PATRICK BOUTIN | MAINE BRETAGNE | E | 4 | 67,00 |
12 | GREGORY CHOUKROUN | DE LEDENON | E | 2 | 67,00 |
14 | FRANCIS PARENT | AISNE | E | 2 | 66,00 |
15 | VINCENT IOGNA | ROSNY 93 | E | 2 | 65,00 |
16 | GILLES THOMAS | NEVERS MAGNY-COURS | E | 2 | 63,00 |
17 | RUDY VOLPE | CIRCUIT DU LUC | E | 4 | 57,00 |
18 | RENE DALAIS | DU LOIRET | E | 2 | 55,00 |
19 | LAURENT PRUNET | ARMAGNAC BIGORRE | E | 2 | 54,00 |
20 | DANIEL HAROUT | ARMAGNAC BIGORRE | E | 2 | 46,00 |
21 | ARNAUD CHOQUET | CIRCUIT DE CROIX | E | 2 | 45,00 |
22 | JEROME SORNICLE | MAINE BRETAGNE | E | 2 | 33,00 |
23 | JEAN-PAUL DUSSOUCHAUD | DU VIGEANT | E | 1 | 32,00 |
24 | PHILIPPE HERBECQ | CIRCUIT DE CROIX | E | 1 | 28,00 |
25 | SYLVAIN JOT | DE LA CHAMPAGNE | E | 1 | 25,00 |
26 | PHILIPPE FUSILLIER | ARTOIS LITTORAL II | E | 2 | 22,00 |
27 | JEAN-LUC NERI | SEQUANIE | E | 2 | 21,00 |
28 | FRANCK DI MAIO | DE LEDENON | E | 1 | 17,00 |
29 | FRANCOIS MAZINGANT | CIRCUIT DE CROIX | E | 1 | 16,00 |
30 | MATHIEU HOCHART | CIRCUIT DE CROIX | E | 1 | 10,00 |
31 | ADRIEN HERVOUET | MAINE BRETAGNE | E | 1 | 5,00 |
31 | PAUL VEZIN | CIRCUIT DE CROIX | E | 1 | 5,00 |
Concernant les autres courses du meeting du printemps au Vigeant nous n'avons malheureusement pas eu le temps d'aller voir les berlines. Les courses de barquettes sont toujours aussi intéressantes. Quant aux Mitjets, on ne peut qu'être déçu par les temps réalisés au regard du prix de ces engins et des structures professionnelles qui les font rouler. La monoplace la plus lente a été nettement plus rapide que la plus véloce des Mitjet qui vaut pourtant plus de cinq fois plus cher. C'est aussi la mort dans l'âme que j'ai vu rentrer ces Mitjets dans des états pitoyables. Disposer d'un solide budget ne devrait pas suffire pour n'avoir que peu de respect pour le travail des mécanos et des carrossiers. C'est en tout cas le vision de THOMAS RACING DEVELOPPEMENT depuis toujours. Ici, on accepte le risque, mais on respecte le travail des hommes.
Quant à la grimace du directeur du circuit quand il annonçait qu'il allait devoir remplacer 21 tronçons de rail de sécurité, elle en disait long...
Petite présentation en images du meeting.
Le billet de Brandon
"La course du Vigeant à été sympathique. J'ai pris pas mal d'expérience grâce au savoir-faire de mon pilote Gilles Thomas. J'ai été conquis par les performances de notre monoplace et par son classement. J'ai passé un séjour magnifique et je remercie Gilles Thomas de me faire confiance et de me donner une chance dans ce millieu. Je remercie aussi Jean -Claude pour ses blagues et pour le confort du camping-car qu'il a mis à notre disposition.
Vvement la prochaine course !"
Brandon VLIEGHE
A boter : la règlementation FFSA ne permet pas d'utiliser une caméra Go pro en course dans les voitures découvertes. On se demande pourquoi, mais les seules vidéos embarquées en course disponibles sont tournées dans les voitures les moins rapides. En voici deux :
Vidéo embarquée course de berlines (HONDA Civic groupe A)team LRP)
Vidéo embarquée dans une Mitjet
Lien vers l'épreuve suivante : Coupe de France des Circuits 2016, épreuve de Lédenon
Schrader, la pression maîtrisée
TRD CARS are lubricated by RED LINE
http://www.garage-varinot.fr/red-line-oil-huile-moteur/
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